Blabla du 12/03/13

Faute d'efficacité, je joue la présence.
Tu la sens bien, la news inutile, hum ?


Bonjour ! Avant de commencer, je tiens à dire qu'une fois la maintenance finie il n'y aura JAMAIS de news tous les quatre jours. Faut pas déconner.

Je me permets parce que j'ai sorti du texte. Mais pas tout ce qui se trouve sur le menu.

Pour vous éviter de chercher, parce que je voulais un site pratique de façon à ce que les gens ne soient pas obligés de trop fouiller :

- Il n'y a rien en nouvelles. Je ne les ai pas encore re-re-re-re-re-re-re-corrigées et mises au format PDF.

- Dans les longs, vous retrouverez Astrodynamique. Oui, mais. Seulement la première partie contenant les cinq premiers bilans, selon le nouveau découpage. (Aparté, d'après le plan actuel, il devrait y avoir vingt-cinq bilans, donc cinq parties).
Tout le monde les a déjà lus, sauf ceux qui ne les ont pas lus. J'y ai enfin corrigé le problème du double VII/. (Oui, il y avait deux VII/. Ça passait relativement inaperçu, mais ce n'était pas une raison pour ne pas corriger la bourde).
Le reste viendra quand je l'aurai re-re-re-re-re-re-relu, re-re-re-re-re-re-recorrigé, et mis au format PDF.
(Le sommaire vous l'apprend, vous aurez droit au bilan quinzième ; j'en suis au dix-septième, qui me donne un peu de fil à retordre).

- Vous retrouverez également les mails de la vieille Nadette Logier, qui ne sont pas inédits mais reparaissent dans une forme trop trendy-lol, avec des commentaires de Nadette Logier et Will Banerji eux-mêmes.
(Note à moi-même : penser à écrire très très vite cette explication de texte où je déclare n'avoir jamais cherché à rendre les mails de Nadette Logier intéressants, crédibles ou bien écrits).

- Transition de fou : dans la même ligne - pardon, le même rail - pseudo-temporelle que Nadette Logier se trouve le Journal d'Angus McRow. La forme est un peu particulière, c'est du micro-blogging journal intime. Je n'ai jamais réussi à écrire du récit classique dans cet univers à la noix. D'après les primo-lecteurs, ça se lit.

- Je sors deux autres nouveautés, et pour faire une transition douce, commençons par Ziszás Quandary, qui est plus ou moins de la science-fantasy. La science-fantasy étant un genre particulièrement flou, ça n'aide pas, je sais.
Ça cause plus ou moins guerre froide, mais pas la nôtre. (Quoique : de temps en temps, le parallèle entre Empire et URSS, ainsi qu'entre Hégémonie et États-Unis, est assez visible).
De la rétro-science côtoie de la para-psychologie, un mélange classique mais qui me met toujours autant d'étoiles dans les yeux.

- Science-fiction → Science-fantasy → Fantasy. Transition douce, tout ça. Parlons de Frêles, qui possède un sous-titre à coucher dehors qui ne s'expliquera que dans la partie deux - disons juste Frêles.
C'est plein de petits animaux duveteux, d'histoires de famille et de politique digne des Bisounours. Comme tout le reste, je me suis amusée très beaucoup, et j'espère qu'un peu de ce "fun" passera au lecteur.

Le reste arrivera quand il arrivera.

Mais, notez : quatre jours. C'est assez court, en fait.

@.

PS : Certaines réponses à certaines questions se trouvent dans la FAQ. Qui ne s'appelle pas comme ça. Je ferais mieux d'ajouter un point d'interrogation quelque part, moi.

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